A l’heure où ronronne sous leurs turbans
infâmes, les scuds en vrai poils de barbe des djihadistes névrosés qui n’ont sûrement
lut du Coran que les passages où ça castagne
et où ça fornique….
A la minute où défilent sur l’écran froid de l’ordinateur du Président
Directeur Général, les bénéfices faramineux dont peut se féliciter le conseil
d’administration du groupe Berneau, sur l’affaire « élixir de vie, l’eau qui
respecte ton corps », d’abords sauvé par l’acquisition des dernières nappes
phréatiques non pollué de la province du Bourdjidjistan, puis dont les ventes
ont été boosté par ce nouvel agent de saveur dont les rumeurs de toxicité
seraient bientôt étouffées…
…A la seconde où la nouvelle vient de tomber dans les rédactions des grands
quotidiens nationaux :
infâmes, les scuds en vrai poils de barbe des djihadistes névrosés qui n’ont sûrement
lut du Coran que les passages où ça castagne
et où ça fornique….
A la minute où défilent sur l’écran froid de l’ordinateur du Président
Directeur Général, les bénéfices faramineux dont peut se féliciter le conseil
d’administration du groupe Berneau, sur l’affaire « élixir de vie, l’eau qui
respecte ton corps », d’abords sauvé par l’acquisition des dernières nappes
phréatiques non pollué de la province du Bourdjidjistan, puis dont les ventes
ont été boosté par ce nouvel agent de saveur dont les rumeurs de toxicité
seraient bientôt étouffées…
…A la seconde où la nouvelle vient de tomber dans les rédactions des grands
quotidiens nationaux :
« Un père de famille honnête et
responsable viole le petit chien de la maison et assassine à coup de pelle à
tarte sa femme et ses 3 enfants.
L’homme faisait partie des salariés de l’usine fongimex de Crepon-les-bains
touché, on se souvient, par une importante vague de licenciement survenue
quelques mois plus tôt. »
responsable viole le petit chien de la maison et assassine à coup de pelle à
tarte sa femme et ses 3 enfants.
L’homme faisait partie des salariés de l’usine fongimex de Crepon-les-bains
touché, on se souvient, par une importante vague de licenciement survenue
quelques mois plus tôt. »
…et Dame Nature qui ne cesse de faire des
siennes, et de se plaindre, comme s’il n’y avait qu’elle à avoir des problèmes,
mère indigne, hystérique, sombrant très certainement dans les affres de la
ménopause, incapable de soutenir dignement son enfant, en pleine période de
crise…
siennes, et de se plaindre, comme s’il n’y avait qu’elle à avoir des problèmes,
mère indigne, hystérique, sombrant très certainement dans les affres de la
ménopause, incapable de soutenir dignement son enfant, en pleine période de
crise…
Voilà pourquoi « SURVIVRE AVEC SON
TEMPS ! »
TEMPS ! »
Enfin, pour terminer la présentation, je
vous invite à lire ce petit article que l’on trouve sur le site de « l’Humanité »,
dont je tire une certaine petite fierté, puisqu’il dresse le portrait de deux
jeunes apprentis des métiers de la presse, dont moi, ayant participé à un
évènement organisé chaque année par la rédaction du fameux journal, (les W.K « libre-échanges)
et qui consiste à convier un nombre assez important de jeunes pour créer un
numéro du quotidien.
vous invite à lire ce petit article que l’on trouve sur le site de « l’Humanité »,
dont je tire une certaine petite fierté, puisqu’il dresse le portrait de deux
jeunes apprentis des métiers de la presse, dont moi, ayant participé à un
évènement organisé chaque année par la rédaction du fameux journal, (les W.K « libre-échanges)
et qui consiste à convier un nombre assez important de jeunes pour créer un
numéro du quotidien.
« Julien Gutières, 21 ans, reste à l’écart de la rédaction du journal.
Normal, il est ici pour dessiner. Venu de sa Drôme Provençale, son carton à
dessin sous le bras, il ne sait pas encore où il va dormir ce soir. Ce n’est
pas par hasard si on le retrouve dans les couloirs de L’Humanité ce
week-end. « J’avais déjà envoyé mes dessins à plusieurs
journaux : Charlie, Siné... L’Huma également ». Quatre
mois plus tard, le journal le recontacte pour l’opération "Libres
Échanges", alors il « saute sur l’occasion ». C’est la
première fois qu’il est publié. Étonnamment, il n’a jamais essayé de démarcher
la presse locale mais « il faut dire que Le Dauphiné Libéré n’est
pas vraiment adapté ». Je lui conseille de poster ses créations sur
Internet, comme les nombreux blogs BD qui s’ouvrent aujourd’hui. Il répond en
souriant que dans son village, « la connexion Internet, ce n’est pas
vraiment ça ». Ouvrier agricole, Julien a appris le dessin par
lui-même. D’abord un passe-temps, il y exprime maintenant ses opinions, pas
forcément de façon humoristique. Le jeune homme dessine de tout, mais la
politique l'inspire beaucoup. D'ailleurs quand je lui demande son orientation
idéologique, il répond que sa famille est traditionnellement de gauche. Même
s’il se reconnait dans le Front de Gauche, il ne s’investit pas réellement en
politique . « Dans un petit village comme le mien, c’est
difficile, car la pression sociale est forte ». Après cette première
expérience en presse, Julien est satisfait. « C'est comme
j'imaginais, et ça me donne envie de continuer ». »
Dessins inédits de Julien Gutières
Par Adèle Carré
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